J’ai déposé mon amour sur un tapis de roses,
Mais l’épais matelas cachait une fine épine.
La voici maintenant plantée dans mon échine
Et tenter de l’enlever je ne puis, ni n’ose.
J’ai regardé au loin, le soleil couchant.
J’ai supplié l’astre silencieux, en pleurant.
J’ai regardé les étoiles en les implorant,
Mais je ne devais pas être assez touchant.
J’ai creusé la terre de mes deux mains
Pour essayer de négocier avec le diable.
Mais il s’est montré fort peu affable
Et m’a demandé de revenir demain.
Mon pauvre cœur blessé saigne toujours
Et cet éclat de bois, fiché dans mon dos,
Me semble un bien trop lourd fardeau.
Que n’ai-je choisi des lys en ce funeste jour ?
Joli poeme par darkpixel
Mais l’épais matelas cachait une fine épine.
La voici maintenant plantée dans mon échine
Et tenter de l’enlever je ne puis, ni n’ose.
J’ai regardé au loin, le soleil couchant.
J’ai supplié l’astre silencieux, en pleurant.
J’ai regardé les étoiles en les implorant,
Mais je ne devais pas être assez touchant.
J’ai creusé la terre de mes deux mains
Pour essayer de négocier avec le diable.
Mais il s’est montré fort peu affable
Et m’a demandé de revenir demain.
Mon pauvre cœur blessé saigne toujours
Et cet éclat de bois, fiché dans mon dos,
Me semble un bien trop lourd fardeau.
Que n’ai-je choisi des lys en ce funeste jour ?
Joli poeme par darkpixel
(recueilli sur internet )
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